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Récits des parties des citoyens.

Rêves véliques

Messagepar tataye » Lun 13 Mai 2019 22:34

Un petit récit phantasme (n'hesitez pas a commenter):

Rêves véliques


Préparatifs:
       Jeudi matin, nous sommes en pleine semaine, la météo annonce un week-end caniculaire, que faire. Hors de question de rester à la maison et de subir cette chaleur étouffante. Une idée germe en moi, je regarde rapidement les disponibilités de location de voilier pour le week-end, par chance, je trouve un petit dériveur intégral de 27 pieds, aménagement parfait pour nous deux, une petite cabine avant, douche chaude... Ni une ni deux, je réserve et te mets au courant, je t'envoie un petit message au travail, au vu de ta réponse, je te sens ravis de l'option choisie. Mais nous sommes jeudi et le bateau sera disponible vendredi soir donc pas de temps à perdre. En attend ton retour du travail, je prépare la liste de courses que je ferais demain.
       Pendant la soirée, nous nous empressons de préparer nos pactages. Je n'oublie pas de prendre mon appareil photo afin d'immortaliser ce week-end. Toute en m'activant, je t’aperçois du coin de l'œil mettre deux trois éléments qui me semblent un peu insolites pour une croisière... Tu le remarques et t'empresses de masquer le tout. C'est le cœur joyeux et l'esprit serein que nous nous couchons, enlacés dans les bras l'un de l'autre.
       Vendredi, nous avons prévu que je passe te chercher au travail afin d'arriver tôt chez le loueur et de récupérer le voilier ce soir. La voiture prête, sac et courses chargés, je file t'attendre en bas de tes bureaux, il est 17h00 quand tu me rejoins. Le contact est tourné, route sur la côte. La météo n'a pas menti, il fait déjà très chaud, 29°C au thermomètre. Alors que je te décris le programme de navigation que j'ai prévu pour le week-end, je sens ton attention faiblir, tu t'endors, sûrement fatigué de ta semaine. Je finis la route perdu dans mes pensées. Nous voilà rapidement arrivés. Je t'extirpe de ta somnolence et m'en vais régler les papiers de la location. La voiture garée sur le parking, nous entamons le déchargement et le rangement du voilier, son nom « Unusual ». La moiteur de l'air nous fait transpirer. Ca y est, tout est prêt.

               
                       
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Vendredi :
       On s'affale dans le cockpit, en restant là a profiter de la lumière du soir, il n'est que 20h00, nous avons vraiment performé sur le plan logistique, je te soumets donc l'idée d'appareiller dés maintenant pour en profiter et de mouiller dans une petite anse à 1h30 du port. Validé !
       Moteur en route, amarres larguées Unusual file doucement dans le port en direction des passes. À cette heure-là, le plan d'eau est désert. Les gens sont sûrement en train de profiter du soleil couchant pour se retrouver autour d'un apéritif. Tu m'aides à hisser les voiles, la légère brise nous aidera à rejoindre notre proche destination. Une fois tout calé, je mets en service le pilote automatique et m'engouffre dans la cabine pour en ressortir avec deux bières fraîches.
Alors que le voilier glisse tranquillement sur la mer nous sommes tous les deux allongé dans le carré à siroter une bière, je me demande comment on peu être mieux qu'en cet instant. Le soleil n'est pas encore couché ce qui nous permet d'être tous les deux en maillot de bain. Tu me permets de découvrir un de tes achats récents. Un magnifique maillot deux pièces noires, le bas est échancré et le haut en triangle, ces deux pièces tiennent grâce à de fin lien, noirs eux aussi, noué par un nœud formant de belle boucles. C'est une pièce magnifique qui me permet de scruter ton corps détendu et fraîchement éclairé par une lumière orangée.
       Nous arrivons à destination, une petite anse presque déserte, un seul voilier nous tiens compagnie. Les voiles sont affalées et l'ancre jetée, Unusual est bien arrimé aux fonds sableux. L'air est un peu plus frais, car le soleil a quitté l'horizon. On décide de profiter du moment pour prendre un bain, malgré la chaleur caniculaire, l'eau reste fraîche. Malgré tout le bain est très agréable et on peu en ressentir rapidement les bienfaits, une foi douchés et séché, on se couvre rapidement, tee-shirt bermuda pour moi et débardeur jupe légère de ton côté.
       Connaissant ta gourmandise j'ai prévus une douzaine d’huître fraîches, accompagné d'un champagne pour fêter l'instant. C'est de ces moments on l'on aimerai que le temps s'arrête. Seules, ou presque, perdus dans une petite baie isolé, a l'horizon pas un bâtiment et la mer aux reflets rougeâtre. Toute en grignotant de ci de la divers mets, nous plongeons notre attention dans nos lectures respectives. Tu est adossé à moi, mon bras gauche reposant sur tes hanches. La lumière se raréfie a tel point que toute tentative de déchiffrage deviens veine, il est tent de regagner la cabine.
       Une rapide toilette et on se retrouve étendus sur les draps. La chaleur est encore pesante et l'on garde le sabord ouvert. Allongé cote à cote le regard observant la voûte étoilé. On peu entendre au loin la rencontre entre les vagues et la roche. Enlacées, mes mains parcourent ton corps légèrement vêtu. Je peux sentir la chaleur de ta peau au travers de ton débardeur. La pulpe de mes doigts parcourt ta cuisse, tes anches, ton ventre. Toi, tu es allongée sur le côté, la main posée sur mon torse. Les minutes s'égrènent sous le halo lumineux de la lune.
       Nos caresses mutuelles se font plus pressentes. Je peux ressentir ton envie. Ta main se glisse délicatement sous mon boxer pour attraper ma verge déjà gonflée de désir, tu lui appliques plusieurs va et viens et caresses avant de d'ôter mon caleçon. Mes doigts, effleurant ton intimité, attestent du plaisir partagé. Tu te redresses, retires ta culotte et prends les choses en main. Passant une jambe au-dessus de moi, d'une main experte, tu redresses mon sexe afin de le faire pénétrer dans ton antre. Il ne met pas longtemps à trouver se place. S'ensuit d'amples mouvement de ton bassin, nos corps se balancent en cadences. Je retire ton débardeur et commence à te caresser les seins, quelle exquise vue que tes tétons dresser sous la lueur de la lune. Le sang palpite dans ma verge et je sens l'orgasme proche. Tu accélères le rythme et sur un dernier mouvement prononcé je jouis longuement en toi. Mon corps se relâche et tu t'allonges sur moi, pas un mot, juste un souffle chaud. Je me demande si tu as pu atteindre l'orgasme, dans le doute, je me promets intérieurement que ce week-end, je t'aiderai à y parvenir.
       Nous plongeons dans nos rêves, bercés par la houle.....

Samedi :
       Le soleil est déjà haut lorsque j’émerge, je te laisse endormie. Il est 10h00, quand je t'entends te lever. Je t'ai préparé un bon plateau, agrémenté d'un jus de fruit, un café (malheureusement instantané) et une assiette de fruits, framboises, grenades, cerises.... Quelques mouettes rieuses volent le long de la falaise. L'air est doucement iodé. J’aperçois ta tête sortir du sabord et observer l’horizon tel un suricate, puis disparaître à nouveau. Quelques minutes plus tard tu gravis les marches de la descente, vêtu de ton maillot de bain, tu me gratifies d'un doux baiser avant de passer devant moi (me permettant pour l'occasion d'admirer ton fessier) avant de plonger dans la mer. Tu nages, un aller-retour à la plage, rien de mieux pour mettre en forme. De retour à bord, tu te rinces rapidement et t’assied face au soleil, lunette à poste, pour siroter ton café chaud et grignoter quelques fruits. Une journée qui commence de la meilleure des manières. 
        Le soleil est brûlant quand nous levons l'ancre, 11h30, pour gagner notre prochaine destination. Tu prends la barre pour me permettre de relever l'ancre, ou bien pour me regarder mettre en action mes muscles dorsaux et profiter de la vue, peu importe. Unusual file doucement, propulsé par le ronronnement du moteur, tu amènes le voilier face au vent pour me permettre de hisser les voiles et continuer notre périple dans la quiétude d’Éole. Il est 12h30 et donc grand temps de préparer un repas, il sera frugal, la chaleur ne donne pas envie de manger des plats riches. Caler dans les sangles des mains courante nous déjeunons, les lunettes de soleil vissées sur nos yeux. Le voilier avance gentiment, posé sur sa hanche bâbord, légèrement gîté. 
       Le repas fini est rangé, tu me demandes de te mettre de la crème solaire sur le dos, je m'exécute. Une noisette dans chaque main et je commence à étaler la crème, en commencent par ta nuque et ton cou, la paume de mes mains descend sur tes épaules, j'en profite pour te masser les trapèzes que je peux sentir tendus sous mes doigts. Avec de lents aller-retour, je finis de recouvrir ton dos. Tu te lèves, étales ta serviette au vent, sur le pont et t'allonge dessus, sur le ventre. Tu détaches le nœud de ton haut et ferme les yeux. Alors que le voilier file, tu restes là, assoupie. Je maintiens le cap et profite du silence, concentré sur la route, je laisse parfois mes yeux caresser ma naïade endormie. Secrètement, je rêve que tu te retournes et me dévoile ta poitrine luisante et tes hanches irrésistibles, mais cela restera un rêve, car tu es belle est bien endormis et je reporte mon regard sur l'horizon. Le temps passe sans qu'il soit réellement quantifiable. Nous sommes proches de 16h00 quand tu t'éveilles, tu scrutes les alentours, éblouie par la luminosité, je te sens perdue, il te faut un petit temps pour que la réalité se rattrape à toi. Tu regagnes le cockpit. Après un échange de doux baisers, tu gagnes la cabine.
       Nous sommes seuls au milieu de la mer, on peu apercevoir au loin quelques voiles de-ci de-là. La mer nous appartient. Nous sommes encore à 2 bonnes heures de notre destination, car le vent a faibli. Soudain, je te vois t'extirper de la cabine, a ma grande surprise, tu es entièrement nue. Je vois bien à ton regard brillant que tu as idée bien précise. Mais mes yeux ne peuvent s'empêchés de scruter ton anatomie, tout d'abord la beauté de tes seins qui pointes avec insolence vers le soleil, le galbe de tes jambes, ta toison dorée, ton sexe bombé. J'en perds ma lucidité et le voilier fait une embardé qui est à deux doigts de te faire chuter, je reprends le cap. Il faut dire que s'est difficile de rester concentré dans de telles conditions. D'une voie malicieuse, tu me demandes te mettre le pilote automatique et de venir m'occuper de toi. Une fois le pilote en service je me lève et m'approche de toi. Je t'attrape la tête à deux mains et presse mes lèvres contres les tiennes, on échange un profond baisé où nos langues se mélanges dans un doux balai. Tu peux ressentir sur ton ventre mon intimité devenir vigoureuse. De ma main droite, je commence à explorer ton sillon inter-fessier. Je prends conscience en cet instant que je peu honorer la promesse que je me suis faite hier soir. Mes doigts caressent tes fesses délicieusement rebondies. La suavité de peau m'excite outrageusement. Tes mains parcourent mon dos. 
       Après quelques instants à se découvrir mutuellement, je finis par comprendre la réelle signification de ta phrase : « Viens t’occuper de moi ! ». J''en prend acte et m'écarte de toi. Je referme le capot de la descente et , t'attrape par les fesses, et te dépose dessus. Ton sexe et maintenant tout entier offert à ma vue. Tu poses tes mains derrière toi et écartes largement les jambes, l'indice est on ne peu plus claire. Tout en m'agenouillant, je constate que tu as rasé plus que d'habitude les poils de ton pubis, il ne cache plus les plis de ta vulve, j'aime ça. Je passe mes bras sous tes jambes et enfouis ma bouche entre tes cuisses. Tu bous de la langue je commence à explorer ta vulve déjà humide de plaisir, le goût est délicieux. Mes mains enserrent fermement ton arrière-train afin de le pétrir ferment. Je continue à m'affairer sur ton sexe, qui est maintenant totalement trempé. Ma langue passe sur ton clitoris gonflé, une foie délicatement, une foie avec plus de pression. 
       Malgré notre isolement, tu aperçois quelques voiliers qui se trouves de plus en plus proches, chose que je remarque nullement tellement je suis concentré sur ton intimité., mais cela ne t'arrête pas. Bien au contraire, a l'idée de pouvoir être vue ton excitation augmente. Je capte la tension te ton corps, tu grimpes un à un les échelons de l'orgasme. J'accélère le mouvement quand soudain tu gémie et tente de me repousser. Mais je suis bien ancré dans ton intimité et continus mes mouvements de langue, tu tortilles dans tous les sens pour d'extraire de mon emprise. Finalement, je te libère et je ressens le tremblement de tes jambes. Tu t'affales littéralement sur le pont ton sexe détrempé toujours offert à ma vue. C'est alors que je m'aperçois de la relative proximité des autres naviguant, je ne peux m'empêcher de rougir. Je retourne à la barre mon sexe douloureux d'excitation. Mais j'ai bien compris que pour le moment, je devais refroidir mes ardeurs.
       Tu te lève et file dans la cabine revêtir une robe tunique blanche légèrement transparente et me rejoins à la barre , tu es toujours nue dessous, je devine tes aréoles au travers. La baie choisie pour la nuit s'approche, elle est un peu plus peuplé que la dernière mais rien de bien méchant. Alors que l'on se rapproche tu me demande si tu peu barrer je te laisse avec plaisir saisir le stick et me love contre toi. Ta main gauche est fermement agrippé, mais ta main droite à mon grand étonnement  défait le lacet de mon short de bain et glisse sur mon sexe. Tu commence à me masturber délicatement tout en gardant un œil sur le cap. Tes mouvement son précis et à chaque trajet tu découvre mon gland me provocant un frisson. Tu accélères et mon sexe gonflé finis par ne plus résister, je me laisse aller et libère ma semence. Tu m'embrasse le lobe des oreilles et me susurre  « Tu ne croyais tout de même pas que je t'avais oublié ? ».         Je suis obligé d'aller me changer et ca te fait rire.

               
                       
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`La fin de la traversé se passe normalement et on arrive à notre point de mouillage aux alentour de 18h00. Une fois les voiles ferlées et l'ancre jetée, nous prenons l'annexe pour aller faire un ballade sur cette île préservée. Nous arpentons le sentier des douaniers, main dans la main. La vue est splendide, nous somme sur le coté ouest de l’île et donc face au soleil couchant. Je me pose pour prendre quelques clichés de ce soleil couchant et de toi, ma muse. Tu est belle, ton visage serein planté vers l'horizon, tes mèches blondes translucides. L'air est chaud et nous continuons notre périple il n'y a presque pas d'habitations, l’île est presque déserte. Une heure plus tard nous sommes de retour sur la plage déserte où nous avons laissé l'annexe, nous sommes en sueur. L'heure parfaite pour un bain. Nous plongeons dans l'océan. Quel bonheur de profiter du déclin de la journée ensemble a se prélasser dans l'eau et savourer ses valeurs régénératrices. Tu décide de regagner le bord à la nage et je te suit dans le canot gonflable, la petite crique est maintenant totalement vide.
15 minutes plus tard nous sommes de retour sur Unusual. On se pose pour sécher sur le pont. D'humeur badine je te propose de participer à un shooting photo, « Trés bonne idée, mais je commence pour changer », « Chacun son tour ? », on est d'accord . Tu prends l'appareil et me demande de me placer allonger sur la banc du cockpit, les yeux fermés , pendant que tu prends quelques clichés, ma peau est toujours humide. A mon tour, je vais m'essayer au contre-jour. Je te place à la proue de profile, entre moi et le soleil, je mitraille. Tu récupère le numérique, « Assied toi sur la bôme...mais avant ôte ton maillot ! ». J'essaye de me défiler, d'argumenter « Et si quelqu'un me vois ? ». Tu regarde tout autour et hausse les épaules, en effet il n'y a personne. Je n'ai pas d'autres argument et finalement j’obtempère, après tout ça sera mon tour après...Nu, assis sur la bôme je te laisse fixer l'instant, tu en profite, « Tu ne paie rien pour attendre ! ». On rigole, enfin toi moins longtemps que moi. « Je pense que tu sais ce que tu as à faire ? ». Tu le sais car tu dénoue le lien de ton haut puis de ton bas, te voilà toi aussi nue. « Met toi a califourchon sur la barre et regarde l'horizon en mettant ta main comme une casquette. ». Le jeux dure longtemps, plus cela avance et plus nos mises en scènes deviennent insolites et drôles, il est temps d’arrêter et de passer à la suite des événement. Il nous faut un peu de temps pour se laver et s »habiller. Le repas est vite préparé, une salade crevette pamplemousse, un avocat du saumon fumé et des toast d’œuf de lompe. La table est dressée à l'extérieur. La chaleur est toujours pesant mais l'air frais venus du large nous rafraîchis. Tu es toujours vêtus de ta tunique blanche (en revanche tu as mis des dessous ), j'ai passé un tee-shirt et un pantalon de lin.

Soirée du samedi :
       On s'assied tous les deux, l'un en face de l'autre. Je te sert un verre de champagne et remplis le mien. Nous discutons de la journée, se remémorant quelques détails et anecdotes. Les derniers rayons du soleil éclaires encore ton visage. Tu sors de sous la table une petite boite entouré d'un ruban pourpre et me la tend. Je la saisie en te remerciant et commence a déballer la petite boite. J'en extirpe une sorte de télécommande, je la regarde sous toutes les coutures a la recherche d'un quelconque indice m'indiquant son utilité, il y plusieurs boutons dessus. Tu me souris. Tu as remarquer que j'étais un peu désappointé et même légèrement déçus. « Tu n'as qu'a essayer d'appuyer dessus » . Je presse sur le bouton noter on/off, il ne se passe rien, enfin du moins c'est ma première impression car je perçois une très légère vibration.  « Tu entend ? ». Je croise ton regard pour avoir une réponse. Tu te mordille la lèvre tout en me souriant, tu as le visage crispé et tu ne me répond pas, je presse a nouveau le bouton sans te lâcher du regard, instantanément tu te relâche et rigole.C'est a ce moment que je comprends. « Attention n'en abuse pas ».
       Je ne te connaissais pas une tel audace. Par déduction je devine que les deux autres boutons servent à faire varier l'intensité de l’œuf vibrant que tu as dissimulé dans ton antre. « C'était donc ça que tu as cacher quand tu as fait tes bagages, t'es vraiment surprenante ! ». Le repas se déroule normalement, bien sur de temps en temps j'active le bouton magique que tu m'a offert, toujours sur un mode faibles vibrations. Cela m'amuse est m'excite. Je me retiens de ne pas l'activer plus souvent pour ne pas que tu me reprenne mon jouet.  Je continus le repas normalement.
       Vers la fin du repas je remplis à nouveau ton verre, à ras bord. Discrètement je monte la puissance des vibrations à fond et attend le moment opportun. Il se présente enfin ! Alors que tu porte la coupe à tes lèvres j'active ton bijou secret. La vibration est si intense que tu renverse la totalité du contenu sur ta tunique, «Arrête s'il te plaît !!! ». Tu croise les jambes et met tes mains entre tes cuisses. Je stop aussitôt. Mission accomplie. Le champagne a entièrement inondé ta robe , la rendant totalement transparente. Ton soutient gorge en dentelle est comme imprimé dessus. « C 'est malin, je suis toute trempée...ah d'accord c'est ce que tu cherchais ! Attention je peu la reprendre à tout moment ! Bon on va considérer le repas comme finis !». Tu pousse alors la table et retire ta tunique. Tes dessous son vraiment à croquer ! Tu viens te mettre à califourchon sur moi « Tu n'as plus qu'a tout nettoyer maintenant! » Je commence à lécher ton torse humide, j'essaye de ne rien oublier mais malheureusement la dentelle me bloque toute une partie inaccessible. J’entreprends de le dégrafer. Tes seins jaillisses, provocateurs à souhait, ils frémissent sous la brise. Je m’applique à les réchauffer de ma langue et de ma bouche. Tes mamelons sont tout durs. Tu ondule ton bassin d'avant en arrière, frottant ton sexe sur ma cuisse. Je mordille le bout de tes seins, provocant des gémissements de ta part. Mes mains parcours ton dos et se glissent sous la dentelle de ton shorty.
       Tu t’écarte et plonge tes yeux dans les miens. Tes mains déboutonne ma chemise et libère mon torse moite. Tu plaque ta poitrine dessus et m'aspire littéralement la langue. Nos peaux humides glisse l'une sur l'autre.. Ce petit manège dure quelques instants. « Lève toi ». Alors que je me tiens maintenant debout, tu fait le chemin inverse. Agenouillée devant moi, tu défais lentement les boutons de mon pantalon et le descends le long de mes jambes. Tu caresses le renflement d'une main experte, quelques bisous et deux doigts glissent sous l’élastique pour mettre mon boxer à bas. Ma virilité jaillie droite comme un I. Tes lèvres se resserrent sur mon gland et tu commences à me prodiguer une exquise fellation. Je regarde ma verge, humide de ta salive, rentrer et sortir de ta fente buccale. De temps a autre ta langue la lèche sur toute sa continuité.
       C'est devant cet excitant spectacle que je me rappelle soudainement la petite surprise que tu m'as faite. Je saisis la télécommande et active le dispositif. Je ressens ta bouche se serrer sur mon sexe, mais tu ne t’arrêtes pas. A contrario, tu accélères le rythme sûrement encouragé par ton propre plaisir. Mon sexe palpite douloureusement et je dois m'extirper afin de ne pas jouir dans ta bouche. Je stoppe l’œuf vibrant et te redresse. Te plaquant face à la descente, je baisse ton shorty le long d cuisses et écarte tes jambes. Je tire la petite boucle et fait sortir de ton vagin le vibromasseur inondé de ta cyprine. Tes fesses sont maintenant entièrement offertes à mon sexe. C'est sans difficulté qu'il prend possession de ta cavité. Je commence alors de lent mouvements, tu relèves le bassin afin qu'il pénètre plus profondément. De mon pouce, je caresse ton anus. D'abord délicatement puis de façon plus pressente. Tout en continuant mes oscillations, j’humidifie mon pouce et pénètre ta rosette, cela t'arrache un grognement sourd. J’hésite à continuer, mais ta main vient saisir la mienne pour la maintenir, un encouragement non dissimulé à persévérer dans ce sens. Alors que mon pouce continue sont travail, j'intensifie mes coups de reins cherchant à mettre le feu à ton point G. Je suis au bord de l'explosion quand tes jambes te lâchent, tu t’affaisses, mon sexe s’échappe de ton antre et se déverse sur don dos. Je suis obligé de te retenir pour pas que tu ne tombes.
       Je te dépose sur le banc et m'écroule à tes côtés. On reprend notre souffle et nos esprits. On reste là un bon quart d'heure, seul le bruit des drisses claquant sur le mât rompent le silence. Tu m'attrapes la main et on se dirige vers l'échelle de bain « On va se laver ? ». L'eau est fraîche, très fraîche, mais cela fait du bien. C'est agréable de nager dans le plus simple élément, on s'enlace, s'embrasse... Je grimpe l'échelle et tu en profites pour me mettre une petite fessée « Eh !! » , ca te fait rire. On se réchauffe sous la douche et une fois rhabillés, on s'allonge tous les deux sur le pont, sous une couette, à regarder le ciel étoilé. Bien sûr, on finit par s'assoupir et s'endormir. Ce n'est qu'une demi-heure plus tard que tu me réveilles pour regagner notre cabine. Et c'est le corps éreinté et l'esprit apaisé que l'on rejoins Morphée.

Dimanche :
        Aujourd'hui encore la météo est avec nous, ciel bleu a l'horizon, légère brise chaude et pas un nuage. Il est 11h30, le réveil à été un peu douloureux, quelques courbatures. Une nage matinale nous offre la possibilité de tout remettre en place. On finit la retape par un copieux petit déjeuner, tu as une faim de loup. Tu dévore une tranche de bacon et des yeux brouillés le tout arrosé d'un thé. Je t'observe. Aller, on range tout et on lève l'ancre, on a un peu de route avant de retrouver le port d'attache. Comme une routine qui installe vite, on déroule les voiles, le retour se fera vent arrière c'est l’occasion de mettre le spi asymétrique. Heureusement le vent se lève un peu sinon une bonne partie du chemin aurais du se faire au moteur, décidément on a de la chance. C'est repartis le voilier est calé sur sa destination. Alors que je barre, tu t'allonge sur le banc, topless (a croire que les derniers événement ton désinhibée). Tu profite du soleil au zénith pour parfaire ton bronzage. Je met de la  musique pour nous accompagner. Les milles défiles lentement et la fin de notre périple s'approche inexorablement. Tu as trop chaud, tu prend l'appareil photo et te place à l'ombre de la voile. Tu commence a regarder les photos prises la veille. On rigole en revoyant certaines scènes, quelles idées sont passées par nos têtes ? Les bouée de chenalage sont maintenant toutes proches , c'est le moment d'affaler les voiles une dernières fois et de mettre le moteur. On remonte dans le port pour retrouver la place d'Unusual. Les aussières sont passé, le bateau rangé. Il est temps de dire adieux à ce merveilleux week-end. La route du retour est silencieuse comme nappé d'une brume. Les kilomètres défilent et le blues du dimanche soir s’installe. Tu romps le silence : « C'était vraiment un week-end fabuleux, il faut que l'on remette ça rapidement ! »........
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Re: Rêves véliques

Messagepar lesZouZous » Mar 14 Mai 2019 09:26

Magnifique récit. Merci pour cela. Ça donne vraiment envie d aller louer un voilier. Vraiment génial.
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Re: Rêves véliques

Messagepar Mesonyx » Sam 18 Mai 2019 11:40

Tres beau recit et jolie plume.
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Re: Rêves véliques

Messagepar VF88 » Sam 18 Mai 2019 12:31

Merci pour ce récit qui nous fait voguer entre la houle et l’écume ;-)
Le plaisir est bien meilleur s'il est partagé ...
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Re: Rêves véliques

Messagepar Minusetcortex » Dim 2 Juin 2019 14:46

Fantastique récit. Merci bcp.
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