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Récits des parties des citoyens.

Le camping de St Andrew

Messagepar Isa-Belle » Sam 19 Mar 2016 12:48

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Le camping de St Andrew


Près de la maison, où nous étions, dans la famille de mon mari, à Saint Andrew, il y a un camping.
Ce camping est situé dans l'enclos d'une ancienne usine désaffectée aux murs de briques rouges.
Une partie de sa structure a été aménagée en salles d'expositions, de spectacles ou de conférences.
Parfois, le matin, depuis la fenêtre de la salle de bain, j'observais les allées et venues sur le lieu.

A l'arrière, j'avais remarqué une partie abandonnée, emplie de bosquets, de ronces et d'arbustes.
Nous y passions en voiture et j'avais remarqué ces portes souvent ouvertes et les carreaux cassés.
Depuis la fenêtre, ce matin de juillet, je voyais ce type au comportement étrange. Curieux.
Il allait en venait entre le bâtiment des sanitaires et l'arrière de l'usine abandonnée.

Ce genre de choses éveille toujours mon attention, sinon mon intérêt. Je suis attirée par le "glauque".
Sans doute quadragénaire, un peu enveloppé, lorsqu'il revenait depuis l'usine, il semblait se toucher.
Je décidais d'en avoir le cœur net. Je prétextais l'envie de prendre l'air et je sortais rapidement.
Je traversais la rue et, par un portillon j'entrais dans l'enclos du camping. Je marchais vers les sanitaires.

J'étais vêtue d'un jean, d'un sweat-shirt et j'étais chaussée de mes baskets. Très mobile et agile.
Discrètement, derrière le mur des sanitaires, j'observais le manège du type. Il allait et venait.
Au bout de quelques minutes, il arriva près des sanitaires en se touchant le sexe sous son pantalon.
Puis, il repartait assez rapidement pour disparaître derrière le mur de vieilles briques rouges.

Je me doutais un peu de ce qu'il cherchait et de ce qu'il attendait. Sans doute à l'affût d'une opportunité.
Je m'avançais rapidement pour aller à mon tour derrière les murs de l'ancienne usine. Sur le sentier.
Je m'avançais parmi des ronces, des amas de palettes, de ferrailles et d'objets hétéroclites.
J'avisais une des portes en métal, ouverte. J'entrais dans d'anciennes toilettes, abandonnées, elles aussi.

Sur ma droite, il y avait une dizaine de cabinets de toilette. La peinture grise en était écaillée.
Les portes ouvertes permettaient d'y découvrir des cuvettes en faïence jaunies et dégueulasses.
Sur ma gauche une dizaine de lavabos tout aussi délabrés. Au fond, des armoires métalliques éventrées.
Ces endroits m'excitent toujours considérablement. Je me promis d'y revenir avec mon mari.

Soudain, d'un des cabinets, ouvrant la porte, le type jaillit : < Hello. Nice place for a walk, right ? >
Il dit ces mots en éclatant de rire. < We met both ? > me fit-il encore en se touchant la braguette.
Je n'avais nulle envie de faire connaissance, aussi, je répondis : < No thanks. I just exploring the place ! >.
Je marchais rapidement vers la porte. < There is a Glory Hole, there, you know ? > fit-il en riant.

Je me retournais pour regarder ce qu'il voulait me montrer. Il pointait son doigt sur le cabinet du fond.
Je revenais sur mes pas pour regarder. Il y avait là un trou dans la cloison séparant deux cabinets.
Je n'avais encore jamais vu ce genre de choses. Le type, mimant une fellation, me fit un clin d'œil.
Déformant l'intérieur de sa joue avec sa langue la main fermée bougeant devant sa bouche.

Je tournais les talons et je me dépêchais de filer. J'étais terriblement excitée par ce que je venais de voir.
J'en parlais à mon mari au retour. Il jouait aux échecs avec son frère. Je lui chuchotais en français.
< Tu es une petite délurée ! Je viens voir ce "plan" tout à l'heure ! > me fit-il avant de me faire une bise.
< Pourquoi "petite" ? > lui demandais-je comme à chaque fois. Il ria en me tapotant les fesses.

En fin de matinée, je montrais l'endroit à mon compagnon. Il n'y avait plus personne. Je regardais le trou.
J'observais cet orifice avec une réelle fascination. Il y avait des coulures indéfinissables le long du mur.
Des substances sèches collaient entre le trou et le carrelage du sol. C'était un de ces fameux "Glory Holes" !
Je voulais absolument tenter cette expérience. J'en fis part à mon mari qui éclata de rire.

Je lui avais raconté ma première visite matinale. Aussi, il me proposa de guetter l'inconnu demain matin.
Mon cœur battit soudain la chamade. Je savais qu'avec sa complicité, j'allais vivre l'extraordinaire...

Isa

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Scotland - Sept. 2015 -

Je vous retrouve samedi prochain pour un nouveau récit.
Je vous souhaite à tous une très agréable semaine.
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Le camping de Saint Andrew - (Episode 2)

Messagepar Isa-Belle » Sam 26 Mar 2016 08:44

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Le camping de St Andrew - (Episode 2)


J'avais un sommeil agité, cette nuit-là. Je me réveillais plusieurs fois en regardant l'heure.
J'étais réellement pressée de réaliser mon fantasme. Il m'avait suivi durant tout le sommeil.
Enfin, le jour se pointait. Je me levais la première pour aller préparer notre petit déjeuner.
Mon mari observait mes gestes maladroits et plutôt fébriles. Il prit rapidement le relai.

Il était huit heure, je me rendais à la salle de bain. Je n'arrêtais pas de regarder dehors.
Même en prenant ma douche, j'observais par la fenêtre ouverte. Quelque peu impatiente.
J'étais debout devant le miroir, démêlant mes longs cheveux, soudain, il venait d'apparaître.
Comme hier, il recommença quelques allées et venues entre le camping et l'arrière de l'usine.

J'avais préparé une paire de jumelles. De la salle de bain, je pouvais donc observer.
Effectivement, l'inconnu se touchait derrière les sanitaires du camping. Braguette ouverte.
Je m'habillais. Mon mari vint à la salle bain à son tour. Je l'informais de mon départ.
Il s'engageait à me rejoindre dès qu'il aurait pris sa douche et qu'il se serait rasé.

Je sortais de la maison. Je traversais la rue. Je passais le portillon. Je marchais vite.
J'étais vêtue d'un jean, d'un T-shirt et j'étais chaussée de baskets. J'étais donc très mobile.
J'arrivais derrière les sanitaires, les contournant en même temps qu'arrivait l'inconnu.
Immédiatement, je filais derrière l'usine pour entrer dans les toilettes abandonnées.

Là, mon cœur battant à toute vitesse, j'avisais l'avant dernier cabinet de toilettes.
J'y entrais pour m'y enfermer et baissais le loquet. Je descendis mon pantalon.
Accroupie au dessus du trou, au sol, j'attendais, tous mes sens aux aguets.
J'entendis revenir le type. Il toussait. Je lâchais un jet net, avec toute la force possible.

Cela attira son attention. A mon tour, je toussotais afin de confirmer ma présence.
Je l'entendais s'avancer vers le cabinet. Je lâchais plusieurs jets sonores et puissants.
L'inconnu essaya d'ouvrir la porte. Plusieurs fois. Il finit par entrer dans le cabinet voisin.
Là, par le trou dans le mur, il pu me voir. Je faisais semblant d'être concentrée.

En me voyant, il du avoir un choc. La fille qu'il avait vu hier matin était de retour !
Il me reconnu. Je me tournais légèrement dans sa direction et je lâchais mes derniers jets.
Soudain, par le trou, je pu voir ses doigts. Le type les bougeait comme une araignée.
Il constatait sans doute que je restais immobile à regarder. Il retira ses doigts.

Je pu voir un bout de son visage et je regardais son œil collé au trou. Je lui souriais.
Quelque instants plus tard je vis apparaître son sexe. Un petit sexe au teint mat.
La peau fripée de son prépuce, d'une incroyable longueur, pendait vers le sol.
Immédiatement, une odeur, rappelant du thon ou du fromage, envahit mes narines.

L'inconnu resta ainsi, sans bouger, jaugeant sans doute la situation autant que moi.
J'approchais mon visage pour sentir. Je reniflais une odeur forte, une vraie puanteur.
J'eus soudain un haut le cœur à l'idée de ce que j'allais faire. Un frisson secoua mon corps.
Comme à chaque fois, c'est ce mélange de dégoût et d'excitation que je recherchais.

C'est cette émotion, ce dégoût, que je devais surmonter, qui me poussaient à "ça".
Ce dégoût, sucer un inconnu, une situation "glauque", tout cela participait de mon plaisir.
Je regardais avec attention ce sexe qui restait mou, ridiculement petit, et si excitant.
Ce sexe qui pendait, minable, depuis ce trou en haut de ce mur dégueulasse...

Je fus soudain très excitée...

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J'aime les situations imprévues. Comme sur cette photographie.
Ce jour d'automne, je "tombe" sur un cueilleur de champignons.
Mon mari prend quelques clichés...

Je vous souhaite à tous un bon week-end et une bonne semaine.
Je vous retrouve pour un nouveau récit samedi prochain.
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Le camping de St Andrew - (Episode 3)

Messagepar Isa-Belle » Sam 2 Avr 2016 08:14

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Le camping de St Andrew - (Episode 3)


J'observais longuement ce sexe d'assez petite taille avec ce prépuce extraordinaire.
D'une longueur inhabituelle, cette peau recouvrant le gland, luisait étrangement.
La "chose" n'était pas sans évoquer une saucisse dont une extrémité serait huileuse.
J'eus un nouveau frisson de dégoût. Je reniflais longuement. J'approchais ma bouche.

D'un mouvement de tête, je pris le sexe entre le bout de mes lèvres.
Du bout de la langue, j'essayais de pénétrer entre la peau et le gland.
Je pouvais ressentir un goût acide, fade et persistant. J'étais très excitée.
Que pouvait bien faire mon mari ? Etait-il déjà là ? Je n'avais entendu aucun bruit.

Je me retirais. Avec le pouce et l'index, je décalottais le gland de l'inconnu.
J'eus un nouveau haut le cœur. A la base du gland il y avait une substance jaunâtre.
Une sorte de crème épaisse, grumeleuse. Une odeur rappelant du thon, du fromage.
Cette vision, véritablement écœurante, m'attirait pourtant d'une étrange façon.

Avec la langue, j'entrepris de tout récupérer. Un goût rappelant l'amande amère.
La substance, épaisse et visqueuse était grumeleuse et fondante. Dégueulasse.
Le goût envahit ma bouche avec une persistance qui m'écœurait et m'excitait.
Je lâchais le sexe. Immédiatement la peau recouvra le gland en glissant doucement.

Je m'approchais une nouvelle fois pour gober ce cylindre de chair qui restait mou.
J'entendis un râle de plaisir provenant de l'autre côté du mur. L'inconnu gémissait.
Presque de suite, du liquide séminal suinta de l'extrémité du méat. Goût salé.
Je me retirais pour ne garder entre les lèvres que la peau de ce prépuce extraordinaire.

Le "jus" semblait couler en continu. J'aspirais avec soin, concentrée et ravie.
Le goût salé, légèrement acidulé, envahissait ma bouche. Je n'avalais pas de suite.
Je voulais savourer. De cette façon, le fromage, difficile à déglutir, allait "fondre".
L'inconnu distillait son liquide séminal dans une coulure continue et abondante.

Je gobais la totalité de ce sexe qui restait mou et petit. Le nez dans le trou.
Les poils pubiens de l'inconnu me chatouillaient le bout du nez et les lèvres.
J'avalais les montées de ce liquide gluant et plutôt visqueux. D'une consistance rare.
L'abondance des coulées m'étonnait. Je me retirais pour regarder ce sexe.

De longs filaments, épais, visqueux et jaunâtres pendaient de ma bouche à ce sexe.
Cela évoquait une sorte de mayonnaise. Soudain, le type lâchait une giclée.
Un infime, court et net petit jet qui vint se briser sur le haut de mon T-shirt avec force.
Je comprenais rapidement ce à quoi j'avais affaire. Le type venait de pisser.

J'avançais mon visage pour engouffrer ce sexe. Je me mis à le sucer avec force.
J'avalais avec peine quantité d'un liquide dont je devinais la composition.
Le mélange inondait ma bouche. J'avais du mal à déglutir au rythme des épanchements.
Soudain, dans un râle, le type éjacula. Du sperme épais envahit toute ma bouche.

Avec les sensations que je lui procurais, pompant ses "mélanges", le type jouissait.
J'avalais avec peine, me gardant d'en perdre la moindre goutte. J'étais très excitée.
Surtout, je gardais la succion. Je voulais vraiment récupérer la totalité de mes efforts.
Enfin, je déglutissais les dernières remontées. Je gémissais de plaisir, moi aussi.

A ce moment là, quelqu'un grattait discrètement à la porte. C'était le "signal" convenu.
Tenant le sexe du type entre le pouce et l'index, pour éviter qu'il ne le retire, je me levais.
J'ouvrais la porte en silence. C'était mon mari. Il entra rapidement pour se mettre dans le coin.
Là, accroupit derrière moi, il allait pouvoir observer la suite. Je voulais me régaler encore...

Isa

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Je vous retrouve samedi prochain.
Pour un nouvel épisode de mes aventures.
Bonne semaine à tous.
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Le camping de St Andrew - (Episode 4)

Messagepar Isa-Belle » Sam 9 Avr 2016 07:33

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Le camping de St Andrew - (Episode 4)



Mon mari était derrière moi. Il me caressait la nuque et les cheveux avec tendresse.
Je m'était accroupie à nouveau. Malgré mes genoux ankylosés qui devenaient douloureux.
Je tenais le petit sexe de l'inconnu. Je pouvais sentir les battements de son cœur.
Une perle de liquide séminal perla au bout du prépuce. J'appuyais sur la peau fripée.

Juste avant que cette goutte ne s'écoule au sol, j'approchais ma bouche pour la récupérer.
Un liquide salé et plutôt fluide. J'essayais d'enfoncer ma langue entre le prépuce et le gland.
La peau, trempée, me permit d'atteindre le méat. Je fermais mes lèvres sur l'extrémité.
Je me mis à sucer doucement. Du liquide, fluide et salé se mit à monter dans le membre.

Derrière le mur, je pouvais entendre gémir l'inconnu. Il enfonça son sexe au maximum.
Je gobais la totalité de la petite chose qui resta flasque et molle. Mon nez dans les poils.
Je suçais avec force. S'alternaient alors des séquences "juteuses" et d'autres, plus "sèches".
Mon mari, appuyant soudain sur ma nuque, enfonça ainsi encore davantage ma tête vers le mur.

Mon nez enfuit dans les poils pubiens de l'inconnu, je suçais de toutes mes forces.
Je n'avais d'autre choix que de respirer par mes narines dilatées. Avec de grandes peines.
Mon mari devait s'amuser de cette situation plutôt inconfortable car il garda l'étreinte.
Ainsi maintenue, il me fallait à la fois déglutir et respirer. Je gémissais, mais d'inconfort.

Le type dut lâcher un jet. La bouche soudain engloutie, j'en laissais s'échapper sur moi.
Mon mari me pressait toujours le visage contre le mur. Je commençais à me débattre.
Enfin, il relâcha son étreinte. Je retirais ma bouche pour laisser s'échapper son contenu.
Je tentais de reprendre mon souffle en toussant. Le haut de mon T-shirt était trempé.

Mon mari, se relevant, avec une grimace de dégoût, fit mine de vouloir s'en aller.
Pour lui permettre de le faire sans attirer l'attention, je me remis à sucer le type.
Je louchais en direction de mon compagnon qui se masturbait à côté de mon visage.
Soudain, mon homme éjacula, me maculant toute la partie droite de la tête.

Mon mari sortit du cabinet le plus discrètement possible en refermant sa braguette.
Moins d'une minute s'écoula. L'inconnu éjacula à son tour. Il y avait moins de sperme.
Je pouvais déglutir sans faire d'efforts car l'épanchement se fit dans un filet continu.
Je vidais l'inconnu consciencieusement. Il se retira prestement. J'entendis la porte.

Je n'avais d'autre choix que de sortir. Dans ces moments j'aimerais disparaître.
Le type m'attendait. En sortant, je vis mon reflet dans un morceau de miroir collé au mur.
Je dégoulinais du sperme abondant de mon mari. J'étais trempée de pisse.
L'inconnu me dévisagea avec mépris avant de me dire : < You come back tomorrow morning ? >

Sans répondre, je me mis à courir vers l'extérieur. Je traversais le pré jusqu'aux WC du camping.
Là, quelques campeurs me dévisageaient avec un curieux sourire. J'imaginais pourquoi !
< Hey, bitch, you slut, and me ? You want to suck me > fit un des campeurs en mimant une pipe.
J'avais vraiment honte. Pourtant, jamais je n'ai ressenti une telle excitation. Délicieuse sensation.

Mon mari m'attendait devant la porte de la maison avec des mouchoirs en papier.
Je n'allais pas prendre le risque d'affronter mon beau-frère et ma belle-sœur ainsi.
Arrivée en haut, je me déshabillais pour prendre une longue douche.
Ce que j'avais vécu ce matin resterait gravé en moi à tout jamais. A refaire...

Isa

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Je vous retrouve dans deux semaines pour cause de vacances au Pays de Galles.
Ce sera l'occasion de vivre de nouvelles aventures que je viendrais partager ici.
A bientôt.
Bises
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Promenade dans le port de Ullapool

Messagepar Isa-Belle » Sam 30 Avr 2016 10:07

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Le port de Ullapool


Cet après-midi d'août, nous étions sur le port de Ullapool. Charmante bourgade.
Nous étions partis de bonne heure, dans la matinée. Deux heures de voiture.
Nous aimons cette petite ville, son port de pêche et sa plage de gros galets.
Le ciel était bleu, il faisait chaud. pas le moindre souffle de vent.

J'étais vêtue d'une de mes jupettes plissées et d'un simple T-shirt.
Chaussée de sandalettes à légers talons, je me sentais en totale liberté.
J'avais laissé ma culotte dans la voiture. Le risque est un jeu qui m'excite.
Mes cheveux noués en une longue natte qui me tombait dans le dos.

Il était quinze heure. Avant d'aller marcher sur la plage, mon mari proposa le musée.
Nous l'avions déjà visité deux fois, les années précédentes. Mais le lieu est plaisant.
Il y a là des curiosités marines insolites et très impressionnantes.
Notamment ces longues dents de narval, en forme de lance, de plus de deux mètres.

Des maquettes de bateaux et des documents sous d'épaisses vitrines.
Il y avait un autre couple qui visitait le musée. Il y avait un homme seul aussi.
Quinquagénaire, plutôt enveloppé, il semblait se promener plutôt que visiter.
Entre deux socles, je m'accroupissais, faisant mine de fouiller mon sac à main.

Mon mari s'était éloigné en soupirant. Dans le reflet de la vitrine je pouvais voir.
Je vis arriver le promeneur. Il faisait des photos avec un petit appareil.
Lorsqu'il arriva à ma hauteur, j'écartais largement mes cuisses.
Il 'tomba" sur mon spectacle en s'arrêtant. J'avais la tête baissée.

Je louchais sur ces pieds. Il restait là, debout. Je relevais la tête.
Il me fixait avec un sourire vicelard. A mon tour, je soutenais son regard.
Je restais ostensiblement dans ma position. J'étais soudain très excitée.
Le couple de visiteurs, arrivant dans la salle, mirent fin à ce jeu.

Mon mari, toujours à l'écart, scrutait une vitrine contenant des tenues de pêcheurs.
Je me mettais un peu plus loin, derrière un autre socle supportant un buste.
Je m'accroupissais à nouveau. Le promeneur avait repéré mon petit manège.
Il revint se planter devant moi. Il est rare qu'un type soit aussi direct.

A nouveau je relevais la tête. Nous nous sommes fixés longuement.
Il me fit un clin d'œil. J'aurais aimé pisser mais j'étais trop gênée. Trop intimidée.
Il se toucha à travers sa braguette en me souriant. Je lui souriais à mon tour.
Le couple revint perturber notre jeu. Je me redressais et je cherchais un autre coin.

J'ai récidivé ainsi à trois autres reprises. Le type devenait téméraire et se touchait.
Il se palpait vulgairement en m'observant. A chaque fois, il y avait ce couple.
Je me redressais pour me rendre aux toilettes. Evidemment le type s'y précipita.
Me faire surprendre, d'une manière ou d'une autre, dans les toilettes, m'excite.

Il put me surprendre accroupie sous un des deux lavabos. Je me lâchais enfin.
Je me débrouille toujours pour créer une situation plutôt insolite et troublante.
La situation n'est pas seulement troublante pour celui qui me surprend.
Mais elle l'est surtout pour moi. Ces instants me procurent de sublimes sensations.

Le type ouvrit sa braguette en me faisant : < You wanna suck me ? A little ? >
Je terminais de pisser pour répondre : < Too bad I do not have time ! >
Je me redressais. Culpabilisant soudain, je me précipitais vers la sortie.
Le type, consterné, me regarda filer à toute vitesse. Je rejoignais mon mari.

Nous sommes sortis du musée pour nous promener le long des maisons.
Les maisons de toutes les couleurs du port de Ullapool, sont de toute beauté.
Au bout de la jetée, je me retournais. Le type était là-bas à faire des photos.
Avant de retourner à la voiture, je m'accroupissais une dernière fois.

Je crois bien qu'il a pris un rapide cliché...

Isa

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Je vous souhaite une bonne semaine.
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Les ruelles à Edimbourg

Messagepar Isa-Belle » Sam 14 Mai 2016 08:04

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Les ruelles à Edimbourg

En cette soirée de la fin du mois d'août, nous étions dans les ruelles d'Edimbourg.
La vieille ville, dans le centre, propose quantité de petits passages piétons.
Mon mari et moi profitions d'une de nos dernières soirées en écosse.
Deux mois d'un séjour de rêves ininterrompus, dans un pays merveilleux.

Dans un de ces passages, les marches d'un escalier invitaient à la découverte.
Nous montions doucement. Sur la droite, l'entrée d'une porte m'intrigua.
Un renflement d'une profondeur d'environ un mètre donnait accès à une porte de bois.
Je trouvais l'endroit absolument idéal pour une petite exhibition bien sentie.

Je proposais à mon mari de m'attendre un peu plus haut, devant la galerie commerciale.
Celle-ci, à cette heure avancée, était fermée. Il n'y avait pas grand monde.
Pourtant, la douceur de la soirée, clémente et accueillante, favorisait la promenade.
Je restais seule sous le porche arrondi de cette porte cyclopéenne. Aux aguets.

Au bout de quelques minutes j'entendis un bruit de pas. Je me penchais pour voir.
Un homme marchait assez rapidement. Vêtu d'un short et d'une chemise ample.
Il portait une grosse sacoche qui lui battait le flanc. Il semblait pressé.
Je m'accroupissais rapidement, cuisses largement écartées. Soudain en sueur.

J'essayais de me concentrer pour pouvoir lâcher un jet car j'en avais le besoin.
Rien à faire, l'excitation et l'urgence de l'instant m'interdirent de faire mon pipi.
Lorsque l'homme monta les marches, son attention fut attirée par ma présence.
Il eut un moment d'hésitation et me lança, amusé en souriant :
< Hey, good evening girl. All alone ? >

Je restais silencieuse en faisant semblant de me faire surprendre.
Je relevais la tête pour fixer l'inconnu dans la pénombre. Il était beau.
J'aurais tant voulu pouvoir me lâcher mais cela me restait impossible.
Frustrée, je lui fis un sourire en répondant : < Oh, sorry, excuse me, I try to pee ! >

L'homme devait être pressé car avant de filer, il me lança en riant :
< It is I who apologize. I am expected. Good luck. ! >. Et il disparut dans la nuit.
Frustrée, je me redressais pour rejoindre mon mari qui bavardait avec un inconnu.
Les occasions les plus excitantes sont rares. Je déteste passer à côté.

Isa

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Scotland - Sept. 2015

Je vous retrouve samedi prochain pour un nouveau récit.
Bonne semaine à tous.
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Un après-midi à Inverness

Messagepar Isa-Belle » Sam 21 Mai 2016 09:55

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Un après-midi à Inverness


Mon mari m'avait proposé de déguster une de ces coupes glacées dont je raffole.
Nous étions à Inverness, près de la galerie marchande du centre ville.
J'aime beaucoup flâner dans cette ville d'écosse. La rivière Ness est magnifique.
A quelques kilomètres, elle se jette sans retenue dans le fameux Loch Ness.

Là, sur le trottoir, nous avisions une terrasse extérieure. Quelques tables.
Une d'entre elles était libre. Je m'installais sans vraiment chercher un angle.
L'important était alors de satisfaire mon irrépressible désir de glace.
C'est une fois installée que je vis ce monsieur, en couple, qui me faisait face.

Sans doute la quarantaine. Plutôt élégant. Sa compagne me tournait le dos.
J'étais vêtue d'une jupe de ville qui m'arrivait au-dessus du genoux. Un pull fin.
Il était déjà dix sept heure. Mon mari me proposait une soirée au bord du lac.
Nous y avons nos habitudes dans un restaurant français, dans le village de Foyer.

Absorbé dans une conversation avec sa compagne, il regardait parfois vers moi.
Je bavardais moi-même avec mon compagnon. Ma petite "passion" m'envahissait.
Doucement, sous la table ronde, j'écartais les cuisses. Je restais raisonnable.
Je portais une culotte. L'homme avait découvert mon attitude. Il restait discret.

Subrepticement, adroite, avec ruse, j'écartais davantage. Je regardais autour de moi.
Je savais que je risquais d'être vue par d'autres gens, je restais donc sur mes gardes.
L'inconnu était ma "cible" et je destinais mon exhibition à sa seule intention.
Il jetait de rapides coups d'œil vers mon entrejambes. La vue était parfaite.

Lorsqu'il cherchait mon regard, je restais volontairement fuyante. Ce n'était qu'un jeu.
Un petit "en cas" pendant la dégustation de ma glace. Mon mari avait compris.
Discrètement, je passais ma main sous la table pour me toucher. Un vrai délice.
Je passais un doigt sous l'élastique de mon slip pour en faire dépasser plus de toison.

Mon manège devait plaire à l'homme car, il avait du mal à garder son flegme.
A présent, ma culotte écartée, je savais que mon sexe était visible. J'eus un frisson.
Je me levais pour aller aux toilettes. J'attendis quelques minutes. Personne ne venait.
Le quidam, prit dans son dialogue n'avait sans doute pas eu la possibilité de me rejoindre.

Lorsque je revins, le couple était parti. J'étais un peu frustrée. Mon mari me fit un sourire.
Il me proposa de ne pas trop tarder. Il fallait donc me résoudre à cesser mes petits jeux.
Dommage car un jeune homme vint s'asseoir à la place du monsieur de tout à l'heure.
Juste avant de me lever, sans culotte, je lui montrais ma toison pubienne fournie...

Isa

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Edimbourg - Sept. 2015 -

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Dans le parc à Glasgow

Messagepar Isa-Belle » Dim 29 Mai 2016 14:55

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Dans le parc à Glasgow


Cet après-midi de juillet, nous étions à Glasgow. Il faisait beau.
Nous aimons parcourir la petite route le long de la Clyde.
Cette rivière paresseuse se déroule sur plusieurs kilomètres.
Les paysages sont verts, étonnants de calme et de beauté.

A Glasgow, nous avons quelques habitudes chaque été.
Nous apprécions de visiter chaque année quelques lieux précis.
Parmi ces hauts lieux, le musée Kelvingrove a toutes nos préférences.
Il s'y trouve le célèbre "Christ de Saint-Jean de la Croix" de Dali.

En face de ce musée, il y a la dernière demeure de Marie Stuart.
C'est là, dans cette maison, qu'elle fut assignée à résidence.
Plusieurs mois avant de partir pour sa prison et son sinistre destin.
Il y a surtout ce parc très attirant, plein de recoins et de bosquets.

Après la visite du musée, avant d'aller déguster une glace, un tour au parc.
Tel fut le programme improvisé de ce jeudi après-midi ensoleillé.
Glasgow Green est un des plus vieux parcs créé pour le public.
Les arbres, plusieurs fois centenaires, y abondent et offrent leurs ombres.

Il faut quitter la large aire dégagée autour de la magnifique fontaine.
Par une des allées latérales il est simple de trouver des bancs retirés.
C'est là qu'avec mon mari, nous décidions de venir nous asseoir.
Nous en profitions pour feuilleter une brochure touristique.

Un jeune homme s'installa non loin de nous. Il déballa sa guitare.
En ignorant tout ce qui l'entourait, il se mit à chanter d'une voix superbe.
Dans le silence des frondaisons, cette musique offrait un côté magique.
Il devait avoir vingt ans, très mince, grand et jouait merveilleusement bien.

J'étais vêtue de ma jupette bleue, de mon T-shirt blanc. Chaussée de baskets.
Il me vint rapidement à l'esprit que je pourrais manifester mon contentement.
Offrir à ce jeune homme le témoignage d'une "admiratrice" enchantée.
Je me levais pour aller rôder entre les bosquets derrière le banc.

Entre deux bosquets, bien en vue du guitariste, je m'accroupissais.
Parfois, en chantant, il relevait la tête et regardait dans ma direction.
J'écartais mes cuisses. Je tenais ma culotte relevée avec le doigt.
Je guettais son prochain regard. Pas une seule fausse note toutefois...

Au bout de quelques minutes, il releva enfin la tête entre deux chansons.
Il semblait enfin me découvrir réellement. J'étais concentrée, prête.
Je lâchais un premier jet, puis un second. Je relevais la tête pour le fixer.
Il se mit à jouer tout en m'observant. Je lui fis un sourire. Il semblait gêné.

Le jeune homme regardait en direction de mon mari assis à quelques mètres.
Ce dernier, plongé dans l'étude de la brochure, ne prêtait aucune attention.
Il me connaît bien et il se doute bien à quoi je suis encore entrain de m'occuper.
Je me cambre et je lâche plusieurs jets qui viennent se briser loin devant moi.

Le musicien m'observe. Il me fait enfin un sourire. Je lui fais un clin d'œil.
Je lève le pouce de ma main droite comme pour le féliciter. Il fait de même.
Un couple de promeneurs arrive. La femme m'aperçoit. Trop tard. Je suis vue !
Je me redresse précipitamment pour revenir m'asseoir à côté de mon mari.

Le jeune chanteur commence à créer un attroupement autour de lui.
Mon mari m'entraîne. Nous allons trouver un endroit pour déguster une glace.
Je me retourne, de la main je fais un signe d'adieu au musicien.
Tout en chantant, il lève sa main pour me rendre ma salutation.

Nous sommes de retour à la voiture pour dix huit heure.
Nous allons nous garer près du centre ville. Il est temps de trouver nos glaces.
A la terrasse d'un salon de thé, nous dégustons deux énormes coupes glacées.
Soudain, là, avec sa guitare, arrive le jeune homme de tout à l'heure...

Isa

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Je vous retrouve samedi prochain.
Bonne semaine à tous.
Bises...
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Je suis enchantée par le jeune chanteur

Messagepar Isa-Belle » Sam 4 Juin 2016 09:28

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Enchantée par le chanteur

Mon mari attirait mon attention sur la brochure touristique qu'il étudiait.
Il me proposait de monter, un de ces jours, dans le nord-ouest du pays écossais.
Là, nous pourrions nous rendre sur l'île de Handa, site privilégié et préservé.
La flore et la faune y font l'objet d'études écologiques très poussées.

Nous étions attablés à la terrasse d'un salon de thé en train de déguster nos glaces.
Soudain, là, sur la droite résonna la musique d'une guitare. C'était le guitariste.
Le jeune homme du parc était venu jouer aux terrasses du centre ville.
Une fois encore le chanteur enchanta son auditoire. C'était très agréable.

Tout en chantant, il jetait de nombreux coups d'œil dans ma direction.
Nul doute qu'il m'avait reconnu. Je lui fis quelques sourires en le fixant.
En parfait professionnel, cela ne le déstabilisait pas le moins du monde.
J'étais assise face à lui, les jambes sous la table ronde et métallique.

La terrasse, comme les voisines, était pleine de touristes et de consommateurs.
Toutes les personnes présentes étaient captivées par la prestation du musicien.
J'avais donc toute latitude pour me livrer à mes petites passions exhibitionnistes.
Discrètement quand même, regardant autour de moi, j'écartais les cuisses.

De là où il se trouvait, debout au bord de la terrasse, le garçon pouvait "voir".
Ce qu'il ne manquait pas de faire avec des coups d'œil adroits, furtifs et discrets.
Tout en chantant et jouant de son instrument, son regard s'attardait sous ma table.
Le musicien pouvait admirer ma toison pubienne tout à loisir. Je lui souriais.

La prestation du chanteur dura un quart d'heure. Les gens en réclamaient encore.
Sa guitare en bandoulière, il passa parmi les chaises en tendant un petit panier.
Son succès emplit ce panier d'osier à ras bord. Je déposais un billet de dix livres.
La monnaie écossaise étant la livre sterling, cela faisait environ treize euros.

Lorsqu'il fut à ma hauteur, en déposant mon billet, j'effleurais sa main délicatement.
Il était beau, brun, le teint mat, les cheveux mi-longs, les yeux bleus clairs.
Son sourire, son talent et son charisme devraient sans doute bientôt lui ouvrir les portes du succès.
Je regardais les autres filles pour me rendre compte que nous étions presque toutes sous le charme.

Je me consolais en me disant que j'étais peut-être la seule à lui avoir offert un "cadeau"...

Isa

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Je vous retrouve samedi prochain
Je vous souhaite une bonne semaine.
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Visite sur l'île Handa - (Nord-Ouest de l'écosse)

Messagepar Isa-Belle » Sam 11 Juin 2016 09:28

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Visite sur l'île Handa


Ce jour de début août, nous avons garé la voiture sur l'embarcadère.
Entre les falaises, il y avait une petite jetée. Deux bateaux attachés.
Nous avons payé les 8 livres pour l'aller et le retour. Environ 5 euros.
Un mille nous séparait de l'île Handa. Un bras de mer calme et bleu.

La journée était magnifique. Il était aux environs de midi. Il faisait doux.
Dans nos petits sacs à dos, nous avions préparé nos repas et la boisson.
Sur Handa, il n'y a strictement rien. Cette île fait l'objet d'études poussées.
Dans le cadre d'un programme environnemental et écologique européen.

J'étais vêtue d'une de mes jupettes courtes, simple morceau de tissus.
J'avais passé un simple T-shirt, mes tous petits seins en libertés, dessous.
J'étais chaussée de basket. Mon mai avait un short et une chemisette.
Nous prenions place sur une des deux banquettes du premier bateau.

Nous étions huit touristes et deux "matelos", autochtones et bénévoles.
J'avais mes cheveux en liberté, une légère brise les agitait en tous sens.
Le calme et le silence des lieux étaient réellement très impressionnants.
Sur la banquette, en face de nous, un couple de quadragénaires.

Parfois, sous mes cheveux, je louchais dans la direction du monsieur.
Il faisait semblant d'inspecter son gros appareil photographique. Concentré.
En fait, lui aussi louchait vers moi. Il tentait de regarder sous ma jupe.
Soudain, ce frisson que j'aime tant ressentir monta le long de mon dos.

Je posais mon petit sac à dos sur mes cuisses. Discrètement, je les écartais.
Tenant mon sac par le dessous, en apparence, je pouvais me toucher.
J'écartais l'élastique de ma culotte. Ma toison pubienne contre mes doigts.
J'étais très excitée, j'avais l'envie folle de me toucher. J'aime ces situations.

Sous mes cheveux je pouvais loucher en toute quiétude. L'homme regardait.
Comme hypnotisé il observait ce que je faisais. J'étais envahie de frissons.
Nous arrivions à l'embarcadère de l'île. Il fallait se résoudre à la réalité.
Mon mari m'entraîna vers une table d'orientation, près de la plage vide.

Une des particularités de Handa Island ce sont ses chemins.
De simples rondins de bois fixés sur pilotis. Il est interdit d'en descendre.
C'est par ces chemins que l'on peut y marcher et faire le tour des terres.
Nous nous mettions en route. Au loin, je regardais le couple s'en aller...

Isa

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Je reviens samedi prochain.
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